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Test / Critique/ Essai/ Review
Native Instruments Bandstand
Lire le mode d'emploi, par ailleurs complet, clair et francophone, ne vous prendra pas beaucoup de temps : on ne peut vraiment pas dire que Bandstand soit compliqué. En gros, vous disposez d'un coffre à trésors enfermant 128 instruments, vous en choisissez 16 (maximum) que vous disposez sur les cartouches qui les attendent dans la vue "play", et vous leur envoyez des messages MIDI sur leurs canaux respectifs. Et ça marche. Toujours dans la vue "play", vous pouvez régler pour chaque instrument : solo, silence, accordage, tempérament, portamento, et - pour la lecture des fichiers MIDI - quantification, ou au contraire "humanisation".
Passez dans la vue "mix" : c'est là que vous déterminerez le volume, la quantité de chorus et de réverbération, et l'égalisation de chacun. Chorus et réverb dépendent des mêmes réglages globaux, par contre l'égalisation peut être différente pour chaque sonorité. Ce mixeur débouche sur une unique sortie stéréo.
Première vérification, pour le principe : la norme est bien respectée, le numéro de programme 1 charge bien un piano, etc. Mais la qualité a un prix en temps, celui que le son, lourd de données, prendra pour se charger. Pendant quelques secondes, vous regarderez s'afficher un petit rectangle marqué "Loading" ("en cours de chargement" ), donc, mieux vaut éviter que deux instruments virtuels se succèdent immédiatement sur la même piste, sous peine de "blanc" (ironiquement, à ce point de vue, le petit synthétiseur rikiki livré avec la carte audio de votre ordinateur est supérieur à ce module d'une marque prestigieuse).