Graffiti, le site de Tom Goldschmidt
Ces pages reprennent celles de
mon ancien site Inspira-Sons,
qui fut consacré à l'électro-acoustique et à la musique assistée par ordinateur.
J'ai récupéré le contenu de ces pages suite à certaines demandes.
Vous trouverez probablement des liens morts ou autres défauts.
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© Tom Goldschmidt
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Carte des Programmes (instruments, effets, séquenceurs, divers)
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le « Studio Grand » (qui s'étale sur deux CD), les pianos électriques moyens aussi, les cuivres inégaux (jolies trompettes), les guitares acoustiques bonnes, les électriques inégales, les cordes parfois criardes dans les aigües à mon goût , les nappes et autres sons synthétiques généralement excellents, les basses aussi. Côté batteries, les sons qui font partie des banques généralistes sont bons, mais sans fondu de vélocité : c’est toujours le même échantillon qui est utilisé pour une note, aussi, que vous jouiez fort ou doucement, seul le volume changera, le timbre non. Donc, ces batteries, aux sons d’ailleurs le plus souvent trafiqués, conviennent mieux pour du hip-hop, par exemple, que pour un jeu naturel jazzy ou rock. Pour cet usage là, trois petites banques à part s’efforcent de suffire à l’utilisateur. Pas mal, mais c’est un peu court, jeune homme. De toute façon, cette énumération vaut ce qu’elle vaut : en piochant dans quelque 2.000 sons, vous trouverez probablement souvent de quoi répondre à vos besoins. La banque générale s’appelle « Proteus Composer », une autre plus moderne reprend une partie des sons du module « Mo Phat », sous le nom de « Hip-hop Producer », une troisième a la bonté de se présenter au standard General MIDI, et suivent quelques groupes de cordes, de pianos, de batteries et de boucles. De plus, E-MU met des sons supplémentaires en vente sur son site, pour des tarifs raisonnables allant de $49 à $69. 
format Proteus. Il a fallu tâtonner un peu pour les fichiers Akai 1000 et 3000, de type assez particulier : si vous obtenez d’abord un message d’erreur, suivez bien ses conseils, et tout rentrera dans l’ordre. Et voilà ! Ce synthé virtuel VST à quelque 50 euros charge la majorité des sons disponibles actuellement pour des échantillonneurs. Constituer vos banques personnelles est fastidieux (il doit y avoir moyen d’accélérer l’import, des fonctions « batch » important des dossiers entiers d’un coup seraient précieuses) mais aisé. La procédure s’appuie sur un navigateur intégré à l’interface du synthétiseur, on y recourt même pour passer d’une vue à l’autre, et parfois toute la façade de l’instrument disparaît au profit d’une fenêtre d’exploration. C’est inhabituel mais pratique, encore qu’on aimerait pouvoir faire disparaître ce browser lorsqu’on n’en a pas l’usage. 