Graffiti, le site de Tom Goldschmidt
Ces pages reprennent celles de
mon ancien site Inspira-Sons,
qui fut consacré à l'électro-acoustique et à la musique assistée par ordinateur.
J'ai récupéré le contenu de ces pages suite à certaines demandes.
Vous trouverez probablement des liens morts ou autres défauts.
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A comparer avec : FM7 de Native Instruments : 289 euros. Les pages de l'interface sont nombreuses mais très claires (plus lisibles que celles de Sytrus), les sons sont excellents et nombreux, il lit les sons de DX7, mais la firme ne semble pas pressée de donner une nouvelle version à cet insérable né voici déjà quelque trois ans, et qui risque donc de se faire damer le pion par Sytrus, d'autant que celui-ci dispose de possibilités sonores plus complètes et est moins cher. Blue de Rob Papen, la synthèse FM et bien d'autres, tout neuf, un rival possible pour Sytrus. 199 euros. Toxic de Maxx Claster : 69 euros, moins sophistiqué que FM7 ou Sytrus, mais plus facile à programmer, plus orienté "dance" également, efficace et gros sons. www.maxxclaster.com/toxic.html FM Synth de Oxe ... A saluer ! Un synthé FM 6 opérateurs gratuit et très raisonnablement fourni en possibilités. De plus, ses créateurs veulent encore l'améliorer. Idéal en tout cas pour vous faire les dents. © Tom Goldschmidt
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Carte des Programmes (instruments, effets, séquenceurs, divers)
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général, l'autre pour un filtre général. Vous y trouverez aussi un équaliseur, et deux valeurs joliment baptisés X et Y, que vous pouvez charger de moduler les paramètres de votre choix - vous pouvez même les déplacer tous deux à la fois grâce à un curseur qui se déplace en deux dimensions - . C'est aussi ici que niche l'unisson, c'est-à-dire la génération de plusieurs voix par note (pour grossir le son), qui est sur 
Sytrus, évidemment, plus raffiné qu'ailleurs. Usez-en avec modération, car c 'est un grand épuiseur de processeurs. Sytrus est-il gourmand en ressources ? Pas toujours. Mais lorsque ses nombreuses capacités sont toutes mobilisées, pas de miracle, l'ordinateur risque de ployer sous la charge. Donc, désactivez l'oversampling tant qu'il n'est pas nécessaire, et gelez les pistes si votre séquenceur vous le permet, d'autant que l'instrument n'est pas multitimbral : si vous voulez lui confier plusieurs partitions dans un même morceau, il faudra en ouvrir plusieurs occurences. Sytrus est-il difficile à maîtriser ? Etonnamment, pas trop. Ce n'est pas le synthé que l'on recommandera à un débutant. Mais si ses paramètres sont nombreux, on saisit vite leur logique. Et des "raccourcis" (désactiver un opérateur sans devoir le remettre à zéro, copier-coller une enveloppe...) facilitent la vie., Reste que le champ des timbres possibles est immense ! N'oublions pas qu'en plus de la modulation de fréquence entre les opérateurs, on peut créer entre ceux-ci autant de relations par modulation en anneaux ! On se rassure un peu quand on constate que les programmeurs de Sytrus ont créé des sons extrêmement intéressants en n'utilisant que deux ou trois opérateurs. N'empêche que si l'on veut réellement exploiter pareille bestiole, autant potasser la FM par la théorie et la pratique. Par exemple, si modulateur et porteur ont la même fréquence, le résultat sera proche de la classique « dent de scie » des synthétiseurs analogiques ou pseudo-analogiques. Si le modulateur est une octave au-dessus du porteur, on retrouvera le son creux de 
l’onde carrée. Rien qu'en vous mettant dans l'oreille quelques-unes de ces combinaisons, vous aurez fait des pas appréciables sur une longue route. Et il n’y aura pas de mal à utiliser des formes d’onde simples, puisque John Chowning, le père de la synthèse FM, a réalisé un unique et fascinant disque en ne se basant que sur de « pauvres » sinusoïdes. 